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Maintenant juge provincial, Guillaume Allard est prêt pour ce nouveau défi !


Guillaume Allard souhaitait contribuer à la promotion du tir à l’arc lorsqu’il est devenu juge il y a environ cinq ans. Son implication se poursuivra au cours des prochaines années, dorénavant à titre de juge provincial dans le secteur concentrique.

Celui qui siège également au conseil d’administration du club Les Archers de Boucherville a reçu la confirmation au début de l’année 2024. Il a pris part à sa première compétition dans ce nouveau rôle le 21 janvier, à Montréal. Bien qu’il ait commencé le tir à l’arc il y a de cela une trentaine d’années, il a découvert une nouvelle facette de son sport en tant que juge.

C’est en rencontrant Céline Gravel que Guillaume Allard a d’abord songé à devenir juge. Petit à petit, l’idée a fait son chemin et il a décidé de plonger dans cette aventure.

« Je la côtoyais comme archer et comme organisateur, je lui posais des questions assez pointues et elle me répondait facilement. J’ai pensé que je pourrais faire ça aussi », raconte-t-il.

Les différentes formations nécessaires à l’obtention de sa certification lui ont appris quelques particularités du sport, surtout dans les duels. La bonne nouvelle, c’est que toute la communauté l’a accueilli à bras ouverts, toujours prête à aider au besoin.

« Je ne suis plus sur la ligne de tir, mais je suis juste derrière ! Un défi que j’ai découvert avec le temps, c’est que c’est beaucoup plus exigeant mentalement être juge qu’être archer, explique Guillaume Allard. Il faut toujours rester aux aguets et être disponible pour régler un litige ou une flèche perdue. Le piton est toujours à on. »

Selon lui, un bon juge doit, d’abord et avant tout, être passionné du tir à l’arc.

« Un minimum d’expérience en tant qu’archer va beaucoup aider aussi », souligne-t-il au passage.

Un souci du détail bien aiguisé est important, comme le désir que tout soit juste pour l’ensemble des compétiteurs.

« Je veux que rien n’accroche et que ce soit effectué dans les règles de l’art. J’aime vérifier si tout est conforme », ajoute Guillaume Allard.

Il souhaite maintenant prendre de l’expérience et gagner en confiance à titre de juge provincial, puis envisagera ensuite le secteur 3D. Lorsqu’il se sentira prêt, il aimerait bien passer au niveau national.

« Je ne veux rien pousser et m’assurer de prendre mon temps pour chaque étape. […] Le tir à l’arc a tellement été bénéfique pour moi. Ça m’a permis de voyager et de faire plusieurs rencontres. C’est très bien de pouvoir redonner au sport. »

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